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Plutôt que jouer au loto, il fait bon être ouvrier en ce moment. Les chances de remporter le gros lot sont aussi minces qu’à la Française des Jeux mais le butin a infiniment plus de valeur, surtout par les temps qui courent, puisqu’il est en or, et pas en euros !

De l’or tombé du ciel
A peine quelques mois après la découverte de 2000 pièces d’or par un ouvrier qui effectuait des travaux dans une maison à Langres, des « collègues » ont fait une découverte miraculeuse dans la maison d’une famille du champagne, aux Riceys : près de 500 pièces de 20 dollars en or. Le montant de la trouvaille est estimé à 750 000 euros !

C’est 7 à 8 fois plus que le trésor découvert dans la maison du philosophe Diderot fin novembre dernier. C’est en cassant le plafond du bâtiment de la Maison Bonnet, destiné à accueillir les vendangeurs, que les ouvriers ont fait une sacrée découverte le 9 février dernier : 497 pièces en or – soit 17 kg – leur sont tombées dessus ! Les pièces de 20$ en or, cachées dans de petits portemonnaies coincés entre deux solives, ont été frappées entre 1851 et 1928.

Qui est l’inventeur ?
Déterminer qui est « l’inventeur du trésor » selon les termes consacré par la loi va être une tâche délicate. Car si un seul ouvrier est tombé sur les pièces (ou qu’elles lui sont plutôt tombées dessus), d’autres étaient présent lors de la découverte et participaient aux mêmes travaux.
Une chose est sûre, la moitié du trésor reviendra de droit à la maison Bonnet et l’autre aux employés qui ont fait la découverte : mais auxquels précisément ?

Une découverte qui tombe vraiment à point nommé quand on connait le cours de l’or et que l’euro est gravement menacé d’extinction…

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Jean-François Faure
Jean-François Faure. Président d’AuCOFFRE.com. Voir la biographie.

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