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Où trouve-t-on la plus grande concentration d’œuvres d’art au monde ? Pas dans les musées… mais bien dans les ports francs. Des endroits où l’on peut stocker des biens de valeur… mais aussi des endroits qui sont l’objet de tous les fantasmes, notamment en raison de la discrétion qui les entoure et de la valeur des objets entreposés. Ces hangars de plusieurs milliers de mètres carrés, sécurisés, profitent en fait de conditions douanières attractives.

Des entrepôts à travers le monde

En Europe et à travers le monde, de nombreux pays comptent sur leur sol l’une de ces zones franches : on en dénombre une dizaine rien qu’en Allemagne,  une demi-douzaine en Espagne et une dizaine au Royaume-Uni. En France, c’est la zone franche du port de Verdon, non loin de Bordeaux, qui tient ce rôle. Certains ports francs sont de simples lieux de stockage à travers le monde. Ce sont d’ailleurs bien souvent des relais logistiques, qui permettent à des biens d’être stockés avant un nouveau transport.
Mais pour d’autres, les ports francs représentent une façon de stocker des biens à des conditions financières très avantageuses. Des aspects qui en font de véritables coffres-forts pour les valeurs les plus diverses.

Ni droits de douane, ni TVA

Pendant toute la durée où ces valeurs sont stockées, elles ne soumises ni à droit de douane, ni à TVA. C’est lorsque les biens sortent des entrepôts qu’ils font l’objet d’une imposition dans leur pays de destination. L’économie peut donc très vite se révéler intéressante, puisque le paiement des impôts et des taxes est différé.
L’avantage est d’autant plus notable pour les propriétaires de biens de grande valeur… qui peuvent être stockés. Et comme le secret, qui caractérise les banques suisses, s’applique aussi à la douzaine de ports francs suisses, il y a de quoi exciter les imaginations… d’autant plus que la réalité n’est finalement pas si éloignée des fantasmes. La Suisse est en effet un acteur bien spécifique : ses ports francs sont réputés pour être un véritable carrefour du marché de l’art. A lui seul, le Port Franc de  Genève « concentrerait le plus grand stock d’œuvres d’art au monde, d’une valeur inestimable « , soutient le site Swissinfo.ch.

Plusieurs fonds similaires se sont également développés en Chine. Mais la Suisse garde la mainmise sur un marché basé aussi sur la confiance et la discrétion… des atouts que les Suisses maîtrisent !

Stockage sécurisé et tenu au secret

Garder son or en Suisse : c’est l’une des solutions les plus sécurisées, même et surtout en cas de faillite bancaire

A Genève notamment, des centaines de milliers de mètres carrés sont réservés au stockage de valeur. Pour les œuvres d’art, cela se traduit par exemple par des conditions idéales pour la préservation des tableaux. Mais un ensemble de services complètent aussi un stockage haute qualité, jusqu’à une sécurité très poussée. Pas question de laisser n’importe qui rentrer dans ces espaces ultra-sécurisés.
Les œuvres d’art ne sont pas les seuls trésors de ces cavernes d’Ali Baba des temps modernes. En juin 2012, un article des Echos  évoquait d’ailleurs les centaines de milliers de bouteilles de vin stockées aux ports francs de Genève, dans un entrepôt loué par le fonds luxembourgeois Elite Advisers. En attendant d’être cédées ou exportées, ces bouteilles parmi les plus convoitées du monde sont laissées sous bonne garde. Les grands crus, les bijoux précieux, les pièces antiques ou encore les diamants sont autant de valeurs que les propriétaires peuvent choisir de stocker dans un port franc. Et même l’or !

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Les avantages d’un coffre-fort externalisé

Garder son or en Suisse, c’est l’une des solutions proposées par AuCoffre.com. Les avantages sont nombreux : un coffre-fort externalisé avec une sécurité renforcée (un service que proposent de plus en plus rarement les banques) et des coffres hors circuit bancaire. En cas de crise majeure, il est bien plus facile de récupérer son or dans un pays comme la Suisse, plutôt que de devoir compter sur un or stocké à Singapour ou ailleurs dans le monde !
L’enquête IFOP réalisée pour AuCoffre.com le montre d’ailleurs : la Suisse est jugée par 79 % des Français comme l’endroit le plus sûr pour protéger de l’or. Et cela inclut aussi bien la protection contre les vols… qu’une protection contre les faillites bancaires ou le risque de saisie par l’Etat.
Enfin, la fiscalité qui s’applique à cet or est celle du régime de droit commun, avec une taxe de 34,5 % sur les plus-values réalisées à la revente, exonérée au bout de 12 ans.

Au secret, mais dans la légalité

De telles possibilités attirent forcément les individus peu scrupuleux. C’est pour lutter contre les tentatives de fraude que la Suisse impose depuis 2009 des inventaires réguliers : la destination et la provenance de chaque objet, ainsi que sa valeur, doivent être indiquées et déclarées. Pas question  de prendre le moindre risque quand il est question de la réputation suisse.
Et AuCoffre.com montre le même sérieux. Outre une garantie bancaire, un extrait Kbis ou encore une attestation d’assurance, AuCoffre.com a également fourni au Port Franc de Genève une liste des personnes habilitées à rentrer.

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Jean-François Faure
Jean-François Faure. Président d’AuCOFFRE.com. Voir la biographie.

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