Début juin, la cause semblait entendue: le baril atteindrait bientôt les 200 dollars à cause de la demande mondiale, chinoise en particulier. La hausse vertigineuse n'avait rien à avoir avec la spéculation, lisait-on. Depuis, le baril a perdu 22% et le discours a...
Réaction immédiate de l’Opep face aux menaces de récession
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