
La valeur de l’euro dépend de la croissance européenne et des politiques monétaires de la Réserve fédérale américaine et de la Banque centrale européenne. A court terme, la baisse de l’euro devrait continuer car la croissance de la zone euro continuant à s’affaiblir, il y a davantage de probabilité que la Fed augmente ses taux, plutôt que la BCE. À plus long terme, cependant, il n’est pas sûr que la devise américaine poursuive sa marche en avant. Car si les ménages américains continuent à ne pas épargner, « les Etats-Unis vont continuer à accumuler de la dette extérieure, et la tendance à moyen terme du dollar par rapport à l’euro restera une dépréciation », note Patrick Artus, économiste auprès de la banque française Natixis.







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